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Ananda : Une histoire pleine de force, d’enthousiasme et de ténacité

Il y a des moments dans la vie où nous nous trouvons tout simplement à la recherche d’un désir qui parfois s’évapore devant nos yeux et d’autre fois apparaît soudainement devant nous comme une lumière révélatrice. Le témoignage de Escolástica en est un exemple clair. Une femme de 46 ans qui désirait devenir mère avec son mariCependant, de nombreuses épreuves ont jalonné leur parcours, jusqu’à ce qu’ils parviennent finalement à atteindre leur objectif grâce à un traitement d’adoption d’embryons. 

Dans son voyage vers la maternité, Escolástica n’a pas cessé de se battre et de chercher jusqu’à ce qu’elle trouve le bon endroit pour réaliser son rêve avec l’aide des professionnels de IVF-Life Alicante. L’histoire d’Escolástica, Andrés et Ananda est, entre autres, une histoire pleine de force, d’espoir et de ténacité face à l’adversité.   

Aujourd’hui, Escolástica est mère et souhaite partager son expérience pour insuffler du courage et soutenir toutes ces femmes qui, comme elle, cherchent un endroit où réaliser leur rêve.

Avec nos proche, nous avons tout partagé et nous avons tout réalisé avec leur soutien, pour moi cela a été la chose la plus importante.

Le début du chemin vers la maternité

Au début de son aventure, Escolástica voulait être mère et ne pensait pas rencontrer de difficultés, car il n’y avait pas d’antécédents familiaux d’infertilité, bien au contraire : elle a une grande famille pleine de naissances naturelles.  

Cependant, pour Escolástica et son mari Andrés, tout ne s’est pas passé comme prévu. Bien qu’elle soit tombée enceinte naturellement, elle n’a pas pu mener sa grossesse à terme. Après avoir subi une fausse couche au cours du premier trimestre de grossesse, ils ont décidé qu’il était temps de prendre des décisions et de commencer à chercher une aide professionnelle. 

Les premiers pas dans un parcours de reproduction assistée

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Au début, je n'avais peur de rien.

Escolástica, souline qu’au départ, lorsque le traitement a échoué dans la première clinique où elle s’est rendue, elle n’y a pas accordé d’importance, pensant qu’il s’agissait d’un « petit caillou sur la route » mais, avoue-t-elle, elle n’avait pas conscience de l’ampleur que pouvait prendre ce problème.  

Après ce premier cycle infructueux, la clinique lui a recommandé de suivre un traitement de transfert d’embryons par le biais d’un don d’ovocytes.  

Lors d’une première tentative avec des ovocytes vitrifiés, ils n’ont pu obtenir qu’un seul embryon approprié et la grossesse n’a malheureusement pas été menée à terme.  

Lors d’une nouvelle tentative, grâce aux ovocytes d’une nouvelle donneuse, ils ont pu obtenir quatre embryons aptes pour être implantés, ce qui a redonné au couple la force d’aller de l’avant. Une fois de plus, Escolástica s’est remise entre les mains d’un médecin spécialiste, mais, malgré tous les espoirs placés dans cette nouvelle tentative, celle-ci n’a pas été possible.   

Selon les mots d’Escolástica, « l’expérience avec ce médecin a été horrifiante« , se sentant totalement sans protection et incapable de savoir exactement quelle était la capacité de son corps à accueillir l’arrivée de son bébé. Pour eux, dit-elle en larmes, « tout était fini ». 

Bienvenue à IVF-Life Groupe : Témoignage réel.

Une fois ce traitement terminé, Escolástica et Andrés, malgré le coup dur que cela représentait pour eux, ont continué à chercher des personnes capables de les aider dans leur situation. Les doutes les ont envahis. Andrés n’a pas cessé de faire des recherches, de vérifier les traitements, les cliniques, les médecins et toutes sortes d’informations sur le monde de la fertilité jusqu’à ce qu’ils trouvent enfin quelque chose. 

Si je devais recommencer ce parcours, la seule chose que je changerais, c'est que j'aurais été beaucoup plus informée, j'aurais cherché beaucoup plus d'informations pour trouver le bon endroit dès le début.

Au Pays basque, grâce à Internet, ils ont trouvé l’Institut basque de fertilité (IVF-Life Donostia) à Saint-Sébastien et, prenant leur courage à deux mains, ils ont fait un pas de plus. Ils ont appelé la clinique et on leur a expliqué qu’il y avait aussi des cliniques à Alicante et à Madrid 

C’est ainsi qu’ils sont arrivés à IVF-Life Alicante, près d’Almeria, qui est leur ville de résidence.  

Là, le docteur Sergio Rogel les attendait, prêt à les conseiller et à leur proposer un diagnostic personnalisé.  

Après avoir effectué divers tests pour déterminer l’état de santé reproductive de la patiente, le premier transfert d’embryon a eu lieu. « Après tout ce parcours, j’étais à nouveau enceinte. C’était époustouflant pour moi. 

Malheureusement après 16 semaines de grossesse, Escolastica fait une nouvelle fausse couche en raison d’une insuffisance cervicale, elle a cependant eu le sentiment d’avoir retrouvé l’illusion qui l’aiderait à atteindre enfin Ananda.

Diagnostic personnalisé et adoption d’embryon pour devenir mère

Malgré le fait qu’Andrés et Escolástica aient insisté pour effectuer différents types de tests de diagnostic, comme des tests hormonaux ou des tests spécifiques du système immunitaire, dans la première clinique où ils se sont rendus, ils ont été contre-indiqués et ont même insinué qu’ils étaient influencés par la désinformation qui existe sur Internet. 

Dans la clinique précédente, avant de venir à IVF-Life Alicante, le médecin qui m'a traité ne m'a pratiquement demandé aucun test et, à l'époque, il croyait qu'il ne serait pas nécessaire de me demander une analyse, au final c'est lui le professionnel

 Grâce à l’évaluation réalisée à IVF-Life Alicante, le docteur Sergio Rogel disposait d’informations détaillées sur l’état immunologique et hormonal de la patiente, connaissant en détail l’état de son endomètre chargé de recevoir l’embryon donné lors de l’adoption d’embryons. Ces informations ont permis de connaître le système immunitaire de la patiente et les déséquilibres de certaines sous-populations de cellules qui pourraient être préjudiciables au développement de la grossesse et au succès de l’implantation. 

La lumière d’Ananda dans leur vie, le premier enfant d’Escolastica.

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Escolastica pose à côté de sa fille Ananda

Avec nos proches, nous avons tout partagé et nous avons tout porté avec leur soutien, pour moi cela a été la chose la plus importante.

Une fois de plus, Escolastica et Andres ont pris leur courage à deux mains et, au risque de subir d’autres déceptions ont maintenu leur décision, se rapprochant une fois de plus de leur désir, qui semblait autrefois irréalisable, de devenir parents.  

Escolastica est tombée enceinte au cours de son dernier cycle et en juillet 2022, Ananda est née, réalisant la naissance de sa fille Ananda il y a moins d’un an. Aujourd’hui, Escolástica a une expérience de vie qui fait d’elle une combattante infatigable, ayant traversé les moments les plus difficiles qu’une femme puisse vivre avec son partenaire. La frustration n’est plus qu’un souvenir du passé, un vestige de ces tentatives ratées de trouver le chemin qui illuminerait ses pas vers sa fille Ananda.  

Au cours de ce voyage, Escolastica souligne le rôle important joué par son partenaire, sa famille et ses amis, qui lui ont apporté le soutien et l’amour dont elle avait besoin pour aller de l’avant, sans crainte et avec la certitude que chaque pas qu’elle faisait l’aidait à pouvoir serrer dans ses bras son bébé.  

Les circonstances qui vous entourent ont une influence sur votre vie, nous avons la chance avec mon mari de voir les choses de la même façon et d’être des piliers l’un pour l’autre.

Cette histoire est son héritage pour soutenir toutes ces femmes qui luttent jour après jour pour trouver leur chemin vers la maternité et être heureuses avec leur famille. 

Escolástica et son mari y sont parvenus grâce à un traitement peu connu : l’adoption d’embryons.  Grâce à un acte altruiste, par d’autres femmes ou couples qui ne souhaitent plus avoir d’enfants, ils ont réalisé leur plus grand rêve : Ananda.