Durant ce 2ème trimestre de 2016, les patients d’IVF-Life ont été une fois de plus amplement satisfaits de leur expérience sein de la clinique. 96% d’entre eux, soit un point de plus que lors du premier trimestre 2016, se disent «très satisfaits» ou «satisfaits». Ces indices de satisfaction sont tout de plus extraordinaires qu’ils perdurent dans le temps de manière constante. En effet, mise à part une baisse à 93% fin 2015, cette satisfaction relative au vécu du patient a toujours été supérieure à 96% depuis janvier 2015.
D’autre part, le « net promoter score » ou NPS de ce trimestre est de 92.88%. Le NPS mesure la probabilité de recommander la clinique à de la famille ou des amis et est considéré comme la variable de satisfaction la plus significative. Pour IVF-Life, cet indice de recommandation a toujours été supérieur à 91% depuis janvier 2015 (sauf un 87% en fin 2015).
Les patients les plus satisfaits sont les Espagnols dont l’évaluation atteint un magnifique 100%, suivis des Britanniques et des Irlandais avec un 97% de satisfaction. Les Allemands et Suisses les suivent de près avec 95% et finalement les Belges et les Hollandais estiment leur satisfaction à 90%.
Le professionnalisme, le personnel, les docteurs et la personnalisation des traitements sont les aspects les mieux notés de la clinique, tandis que la communication par mail, les quelques petites erreurs ponctuelles tout comme les temps d’attente sont ceux que nos patients nous demandent d’améliorer.
Très peu d’incidents ou de plaintes
Les indices d’incidents et de plaintes envers IVF-Life sont de ce fait extrêmement bas. Durant le 1er semestre 2016, le taux d’incidents fut de 2,76% et celui de plaintes de patients de 2,36%. Ce qui veut dire que pour 100 traitements effectués au sein de la clinique, il y a moins de 3 plaintes ou incidents (aucun de niveau grave ou très grave). En règle générale, il s’agit surtout de plaintes dues au stress produit par le traitement, suivi d’erreurs de coordination ou de communication. En ce qui concerne les incidents, ils sont également dus à des fautes de communication interne et n’atteignent jamais le stade de «grave» ou «très grave».
